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  • Pascal Duguay

Bulletin Zénith - Printemps 2016



Avec le printemps qui se pointe le bout du nez et le retour du temps chaud, il nous fait plaisir de vous faire parvenir notre bulletin d’information sur les marchés boursier pour le printemps 2016. À la lecture de celui-ci, vous aurez une bonne idée des perspectives économiques au Canada, aux États-Unis et à l’international dans les prochains mois.

De plus, à la lecture de ce bulletin, vous découvrirez un produit de placement qui donne des rendements impressionnants et qui permet à vos enfants ou vos petits-enfants de réaliser les études qu’ils souhaitent avec le Régime Enregistré d’Épargne-Étude (REEE).

Nous espérons que vous apprécierez les informations que contient ce bulletin et nous vous rappelons que nous demeurons disponibles en tout temps pour répondre à vos questions reliés à vos finances. Profitez-en, ce service est gratuit et il est exclusif à vous chez Zénith Services Financiers Inc.

Revue des marchés

En ce début d’année 2016, les marchés boursiers partout dans le monde continuent d’afficher la volatilité qui a caractérisée une bonne partie de l’année dernière. Néanmoins, les facteurs qui stimulent la croissance de l’économie mondiale et des entreprises, notamment les bas taux d’inflation et d’intérêt, persistent permettant une surprenante résilience des marchés.

Au Canada, l’indice composé S&P/TSX a affiché des résultats beaucoup plus encourageants que ceux des marchés mondiaux. En effet, cet indice a réalisé un gain de 6,6 % grâce à une forte remontée du prix du pétrole (9.2%) vers la fin du trimestre. Aux États-Unis, l’indice S&P 500 a réalisé un modeste gain de 3,3 % qui s’est traduit par une perte de -7,11 % lorsque convertie en dollars canadiens.

Du côté international, l’indice MSCI Monde a terminé le trimestre avec un rendement presque nul, de ‑0,2 %, en dollars américains (ou -6,5 % en dollars canadiens). Ces résultats varient grandement d’une région à l’autre. Par exemple, les marchés boursiers en Europe (-3.9%), au Japon (-7.1%) et en Chine (-16.4%) ont baissé en dépit des efforts consentis par les banques centrales pour augmenter les liquidités et maintenir les taux d’intérêt bas. Par contre, d’autres marchés, notamment ceux de Taïwan (2.4%) et de la Corée du Sud (2.8%), ont enregistré des gains modestes. Finalement les marchés boursiers de l’Amérique latine, comme celui du Brésil, ont enregistré les pires résultats en 2015 mais se sont fortement redressés au cours du premier trimestre 2016.

Par ailleurs, les données économiques demeurent encourageantes, notamment celles sur l’emploi qui sont plus fortes que prévues. On remarque que plusieurs banques centrales ont mis en place des mesures visant à stimuler leurs économies au cours du trimestre, notamment la Banque du Japon qui a fixé des taux d’intérêt négatifs, la Banque centrale européenne qui a baissé son taux directeur, et la Chine qui a mis en place des politiques visant à encourager l’octroi de prêts. Aux États-Unis, la Réserve fédérale américaine a opté pour la prudence et n’a pas augmenté les taux d’intérêt au cours du premier trimestre, prétextant des risques, tels que la lente croissance mondiale.

Par contre, l’appréciation rapide du dollar canadien par rapport au dollar américain (0,68$ à 0,79$ en trois mois) a eu beaucoup d’impact sur le rendement des portefeuilles. Cependant, nous ne croyons pas que cette appréciation va durer pour l’année car nous constatons encore un faible rendement sur les marchés boursiers et obligataires au Canada qui ne justifie pas cette remontée.

Pour l’avenir immédiat, il existe de nombreux motifs à la fois de prudence et d’optimisme au sujet de la solidité de l’économie mondiale et de l’orientation des marchés des capitaux. Les manchettes au sujet de la volatilité des marchés peuvent avoir un effet troublant, mais il importe de ne pas perdre de vue les grandes perspectives. Nous croyons que cette année, il y aura encore beaucoup de volatilité et que nous approchons de la fin d’un cycle économique qui dure depuis 2009.

En conclusion, il est important de garder votre portefeuille bien diversifié pour qu’il reflète vos objectifs financiers et votre tolérance au risque. Nous travaillons à atténuer la volatilité et à préserver votre capital afin de bâtir votre patrimoine financier au fil des années par notre approche des 3 ‘’D’’ (Discipline, Durée, Diversification). Soyez assuré que notre équipe reste à l’écoute des marchés financiers et nous vous tiendrons au courant des développements de l’économie tout au long de l’année.

L’épargne-étude : un potentiel inexploré

Le Régime Enregistré d’Épargne-Étude (REEE) est essentiellement un compte spécial conçu pour encourager l’épargne en vue des études postsecondaires d’un enfant ou d’une personne à charge. Enregistrés auprès du gouvernement, il permet une croissance de l’épargne à l’abri de l’impôt jusqu’à ce que le bénéficiaire s’inscrive à un programme d’études postsecondaires. Les bénéficiaires sont généralement les enfants ou les petits-enfants du titulaire du compte, mais techniquement, il n’est pas nécessaire d’avoir un lien de parenté entre le bénéficiaire et le titulaire pour cotiser au régime.

La cotisation annuelle maximale aux REEE a été abolie en 2007, mais la cotisation maximale à vie est fixée à 50 000 $. Les cotisations aux REEE ne sont pas admissibles à une déduction fiscale comparativement aux régimes enregistrés d’épargne-retraite (REER).

Les REEE offrent trois avantages fondamentaux :

  • Report d’impôt : le revenu issu des cotisations s’accumule plus rapidement en franchise d’impôt que s’il était épargné hors du régime;

  • Partage du revenu : les montants retirés du REEE en vue d’études postsecondaires représentent un revenu imposable pour le bénéficiaire, qui a généralement un taux d’imposition moins élevé que le cotisant;

  • Subventions : le gouvernement fédéral offre une subvention égale à un pourcentage fixe de la cotisation (20%). Le gouvernement du Québec offrent eux aussi une mesure d’encouragement, appelée l’Incitatif québécois à l’épargne-études (IQEE).

Investir tôt est avantageux

Il n’y a pas d’âge pour cotiser à un REEE, mais en commençant à investir dès le plus jeune âge de votre enfant, si possible dès sa naissance, vous profitez au maximum des avantages du REEE. Voici un graphique qui vous présente les avantages d’investir le plus tôt possible en vue des études postsecondaire pour votre enfant.

Comme vous le constater le REEE est un produit avantageux au niveau fiscal car il permet de donner accès à de généreuses subventions et permet de reporter l’impôt dans le temps. De plus, il donne les moyens à ceux que l’on aime de réaliser des études pour un meilleur avenir. Si ce produit vous intéresse et que vous aimeriez avoir plus d’informations sur les subventions ou le moyen de souscrire à ce produit, n’hésitez pas à communiquer avec nous dès aujourd’hui.

Gamme de services offerts

Épargner et choisir les placements à utiliser ne représente qu’une partie du travail à faire pour accumuler, protéger, utiliser et transmettre votre patrimoine. Les services que nous offrons dépassent largement le choix d’un fonds par rapport à un autre :

  • Planification financière de la retraite

  • Conseils fiscaux

  • Épargne – Étude

  • Don planifiés à des organismes de charité ou fondations

  • Protection de votre patrimoine advenant une maladie, une perte de mobilité ou un décès (vie, invalidité, maladies graves, soins de longue durée)

Il n’en tient qu’à vous de profiter de tous les services et conseils que nous pouvons vous offrir !

C’est le temps de maximiser vos contributions dans les deux régimes fiscalement avantageux pour vous que sont le CÉLI et le REÉR.

CÉLI

Le plafond CELI annuel pour l’année 2016 est de de 5 500 $. Pour des contributions totales de 46 500 $ depuis 2009.

REÉR

Vous pouvez connaître votre maximum déductible au titre des REER en consultant l'une des options suivantes :

  1. la ligne (A) qui figure sur l'État du maximum déductible au titre des REER, sur votre plus récent avis de cotisation ou avis de nouvelle cotisation;

  2. le T1028, Renseignements sur vos REER pour 2015, que l’Agence du Revenu du Canada (ARC) vous envoie après avoir traité votre déclaration.

Droit REÉR maximum en 2016 : 25 370 $ pour un revenu gagné en 2015 égale ou dépassant 141 000 $.

Nous vous rappelons de ne jamais hésitez à nous appeler : mieux vaut nous appeler pour rien, que nous appeler trop tard !

Bon été à tous et reposer vous bien !

Cordialement



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